Horreur c'est Vendredi !



Le Ciné-club. Déjà quatre saisons folles et bien déjantées derrière nous ! La quatrième lancée en février dernier venant de s'achever ne peut que laisser présager une cinquième ! Tout comme pour la rubrique consacrée à nos festivals, vous trouverez là un condensé succinct cette fois-ci relatif à notre manière à nous de régulièrement introduire le week-end à tous les cinéphiles, cinévores, cinéphages & fantasticophiles de Strasbourg (^^).

Ici-même vous trouvez et trouverez donc tous le prévisionnel de programmation pour chaque saison (chaude recommandation : Hot News à suivre de près pour les éventuels rajouts !) proposés par les cinémas Star et le Spectre dans l'optique de (re)présenter des films par amour du genre, en VOST aussi souvent que possible & en format 35 mm, cela va de soi (^^).





Vous souhaitiez à nouveau recevoir votre dose mensuelle d'angoisse, de frissons, d'hémoglobine, de spectacle et de rires ? Eh bien le Spectre et le Star St.-Exupéry vous l'ont sans doute administrée ! La Saison 4 d'Horreur c'est Vendredi ! revenue en grandes pompes vous a offert une coquette gamme de films 35 mm, gamme conjuguant, une fois de plus, avant-première et rétrospective. Voilà une prog' fort susceptible d'avoir séduit un bon nombre d'entre vous !

De l'hystérique monument signé de William Friedkin nommé The Exorcist (et dans sa version finale, svp) à une des chasses les plus légendaires du cinéma signée de John McTiernan & du tant regretté Stan Winston nommée Predator, sept rendez-vous cinéphiles vous ont été proposés en commençant par l'avant-première de Let the Right One in (Morse), et ce, en présence de son réalisateur suédois Tomas Alfredson.





Le topo d’Horreur c’est Vendredi ! semblait avoir sa sympathique communauté de fidèles spectateurs et ce n’était pas pour nous déplaire… raison pour laquelle nous avions une fois de plus rempilé avec cette troisième saison offrant mensuellement de nouvelles pépites cultes ou classiques du genre… Une séance par mois… c’est ce qui fut initialement prévu mais de bien croustillants rajouts à la prog' se sont joliment pointés cette année-là !

Eh oui, en plus de The Shining de Stanley Kubrick ; They live de John Carpenter ; The Hills have Eyes de Wes Craven ; The Texas Chainsaw Massacre de Tobe Hooper ; Don't look now de Nicolas Roeg & The Haunting de Robert Wise, sept rajouts-surprises (sous forme de simple pelloche mais aussi sous forme d'eau, de chair & de sang) sont venus étoffer les prestations du Spectre & du St.-Exupéry.





Suite au succès rencontré par la première salve de films programmés et à la demande des spectateurs devenus habitués de ces rendez-vous de l’horreur, nous avons gaiement remis les couverts en mettant cette fois les grands maîtres du cinéma d’horreur à l’honneur avec des films emblématiques, devenus classiques, le tout en version originale, c’est-à-dire un truc qui n’arrive jamais à ce genre de cinéma. Eh bien... même cinéma, même Salle 3, c'était reparti !...

C’est avec Alsatic TV et donc notre ami Fouzi Louahem que nous avons donc présenté & projeté des films nettement plus anciens qu'en 2006. Ainsi les fidèles de nos rendez-vous ont été en mesure de se délecter d’œuvres telles The Evil Dead de Sam Raimi ; The Fog de John Carpenter ; Carrie de Brian De Palma ; The Dead Zone de David Cronenberg & The Dark Half de 'Romero. En d'autres termes : de coquettes pépites.





Les Films du Spectre sont partenaires des soirées dédiées aux films d’horreur programmées au cinéma Star Saint-Exupéry le jour du poisson et des cadavres exquis. Nous avions commencé en programmant des films d’horreur (pour la majeure partie) que nous désirions faire découvrir (en injectant même quelques avant-premières pour certains d'entre eux) ou faire redécouvrir selon les cas... Le tout pour le plaisir des spectateurs adeptes et, bien entendu, le nôtre !

Cette toute première prog' fut donc composée de titres comme House of Wax de Jaume Collet-Serra ; l'intéressant Hostel de Eli Roth ; le brillant & prometteur Isolation de Billy O’Brien ; l'attachant Bubba Ho-Tep de Don Coscarelli ; le sympathique Severance de Christopher Smith ; La Colline a des Yeux d’Alexandre Aja et en finissant avec l’exceptionnel documentaire de Stuart Samuels : Midnight movies